Les partiels qui commencent et le cerveau qui semble exploser. Surligner, écrire, effacer, écrire. Essayer d’avoir une jolie écriture, puis oublier. Essayer simplement de finir. La première respiration après quatre heures de dissertation est toujours la plus agréable. La bouffée de vent glacial me rappelle à la vie. Et, tout continue, tout recommence. Les gens, les transports, le retour. Il y a ce permis qui semble à n’en plus finir, et ces projets au bout des doigts, au bout des os. Il y a des immensités de rêves sous mes paupières lorsque je m’endors le soir. Mais. Mais, il n’y a personnes pour les retenir, pour faire que. Tous les soirs, le lit semble trop grand. Tous les soirs, mes doigts se crispent sur les draps sans vie.

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