Note du lundi

En ce moment, je reçois des merveilles. Ici, et . Un peu partout. J’ai crée cette petite maison de mots, il y a un peu plus de six mois. Depuis que j’ai posé mes bagages dans ce petit univers, je gribouille mes mots, mes humeurs, mes pensées. Des bidules futiles aux idées qui me tiennent le plus à cœur. J’écris en toute liberté les pensées qui volètent autours de moi. Je tricote des articles, des tissus parfois légers, parfois un peu plus épais. Je papillonne. Cette maison de mots et d’images est devenue en quelques mois mon abri, mon doudou face au monde. C’est un endroit douillet et intime. Un nuage de liberté et de douceur. Un nuage qui rencontre d’autres nuages. Cet univers m’a permis de tisser des liens jours après jours. Des petits liens qui grandissent doucement, doucement. De rencontrer des personnes à travers leur maison de mots et d’images aux mille couleurs. De découvrir des personnalités riches et rares. Troublantes. C’est une bourrasque de vie, une tornade de sensibilité. Ce sont des secrets et des confidences en pagailles. La peur du jugement semble évanouie. Les mots s’envolent et créent des étincelles. Une confiance particulière nait peu à peu, et esquisse des jolies choses à venir.

( Ici, tout semble plus simple, plus évident )

Ce blog m’apporte beaucoup plus que je n’aurais pu l’imaginer à son ouverture. C’est Amoureux qui m’a pris la main en septembre, en me disant que je devrais écrire un blog, que le plaisir de l’écriture se partage. J’avais peur de son manque d’objectivité, de ne pas parvenir à être régulière, de ne pas m’accrocher aux branches. Puis, je l’ai ouvert. Un soir, j’ai écrit le premier article. Puis au fil des jours, je n’ai jamais cessé. Je m’écris, me décris. Je me dévoile et j’apprends. J’apprends à écrire et à être lu par des inconnus peu à peu, à recevoir des commentaires. Je me découvre. Les mots tremblent de moins en moins.

Vous savez, au départ, j’avais peur. Peur de ne pas être lue, peur de recevoir des commentaires négatifs et gratuits. J’avais peur que mon écriture, qui tombe encore trop souvent dans l’emphase, déplaise. Je n’ai encore rien reçu de négatifs et je croise les doigts. Vos mots sont doux, sucrés comme l’été. Ils me rassurent souvent. Il y a des commentaires qui m’ont ému aux larmes tellement ils étaient forts, ils disaient ce que je n’osais imaginer. Il y a des commentaires qui m’ont fait sourire, parfois rire. Puis toutes cette attention particulière, ces conseils avisées et surprenants par leur justesse.

Enfin, je vous remercie. Tous et toutes. Six mois, c’est peu. C’est le début du commencement d’une histoire.

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