Il faut que je raconte Valencia, et le retour si doux à Toulouse aussi. J’ai des milliers de choses à écrire, il me semble. Des petits découvertes, des sourires encore et toujours. Des projets aussi. J’ai des envies de tout. Je regarde le futur droit dans les yeux. J’imagine et je rêve.

Et puis. Je vais bien, je souris. Alors, j’en profite. Ce soir, je mange avec Hugo. Dans une petite minute, je vais visiter et apprendre à me servir de l’immense bibliothèque dont dispose ma université. Après, cela sera un cours sur l’art. L’amoureux vient me voir ce week-end. J’en ai déjà des papillons dans le ventre. Je crois que je m’envole peu à peu.