DIY : Calendrier de décembre

Et hop, on s’organise et on prépare Noël !

J’ai hésité à faire un calendrier de l’avent ou un calendrier/organisateur spécial décembre (et donc Noël). J’ai opté pour la seconde proposition. J’avais plusieurs idées pour un calendrier de l’avent mais vraiment très peu de temps. Je garde les idées pour l’an prochain (je rêve secrètement d’avoir un peu plus de temps libre chaque année en vain).

Je vous présente donc l’organisateur mensuel du mois de décembre. Il permettra d’attendre et de se plonger dans l’ambiance de Noël un peu plus chaque jour. J’ai gardé le même modèle global que pour l’organisateur mensuel en lui rajoutant une couche de peinture spécial « Noël ». J’espère que cela vous plaira. Vous pourrez même dessiner un sapin de Noël dessus.

Il y a deux versions : une avec des couleurs flashy  et une plus neutre. J’opte sans hésiter pour la version flashy : cela fait toujours du bien des couleurs intenses l’hiver. Cela réchauffe !

 


J’attends toujours le 1er décembre avec impatience. De manière symbolique, c’est bien cette date qui marque le début de la période de Noël. A Poitiers – comme dans beaucoup d’autres villes j’imagine -, c’est dans quelques jours à peine que les rues s’illumineront pour la première fois et que le marché de Noël ouvrira. L’atmosphère de Noël s’imprègne alors un peu partout. J’aime penser à la préparation des cadeaux de Noël, au menu du réveillon ou encore aux cartes de voeux que je vais créer et envoyer. Je bouillonne de l’intérieur. J’ai l’impression de retomber en enfance.

Le mois de décembre est souvent une période assez chargée. Il y a les examens et les choses à finir impérativement avant le 31 décembre. Le froid nous tombe dessus et les dernières vacances remontent à plus de trois mois. Il faut courir alors qu’on aimerait juste cocooner. J’ai toujours trouvé l’atmosphère de Noël apaisante. Elle permet malgré tout d’adoucir le quotidien, d’immiscer un peu de rêve dans nos vies, et de faire passer cette période assez difficile.

Vous pouvez télécharger le calendrier/organisateur du mois de décembre par ici pour la version simple, et par ici pour la version flashy ! Et pour celles qui arriveraient juste, vous pouvez aussi télécharger une liste au Père-Noël, un organisateur de Noël et des jolies étiquettes de Noël.


Bonne fin de semaine !


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Comme un dimanche,


Le dimanche moelleux

Le dimanche est un entre deux. La nouvelle semaine n’est pas encore là. L’ancienne s’estompe déjà. Le dimanche tient par ses promesses sur les jours à venir, et sur les actes déjà accomplis. Le dimanche est ce jour merveilleux où l’on s’octroie le plaisir d’oublier les chose et de les faire attendre. C’est la journée parfaite pour noyer les impératifs et autres devoirs. On claque la porte et on profite enfin du silence. On prend même le temps de l’écouter, ce silence si apaisant.

Et même si la culpabilité finit toujours par arriver aux alentours de 18 heures, on s’amuse à la semer. La course commence alors. On ferme la porte à double-tour. On rit au wasserfall blond. On la broie à coup d’anecdotes partagées, d’un cake encore chaud, et de films légers. L’essentiel est à la simplicité et à l’instant présent. On joue à cache-cache avec le temps écoulé et avec les devoirs qui scandent notre prénom. La porte tremble et on ne l’entend déjà plus. On se sert un verre de vin, quelques tomates de cerises avant de se lover dans un fauteuil. On se murmure des histoires enfantines et des promesses indicibles.

Le dimanche se compose d’instants de rêverie, de complicité, et de plaisirs simples. La douceur et la lenteur du dimanche sont là pour compenser l’aridité de la semaine à venir. Et qu’importe si la culpabilité imprégnée de l’enfance, nous implore ; on ne l’écoutera pas. Ne l’entendra pas. Silence. On est presque grand.

 

Cet article me fait penser au joli texte de Philippe Delerm sur le spleen du dimanche de son célèbre livre La Première Gorgée de bière et autres plaisirs minuscules. Je crois d’ailleurs que je me rappelle cette petite scène tous les dimanches soirs. Il y a des mots qui marquent plus que d’autres. Vous pouvez la découvrir ou la lire à nouveau sur par ici. D’ailleurs, vous y trouverez aussi un (très joli) extrait sur le même thème de Olivier Adaam.

 

Bon dimanche !


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Intouchables de Eric Toledano et Olivier Nakache


Un film qui donne le sourire

Je suis allée voir Intouchables le jour de sa sortie en salle. Comme beaucoup de monde, le film m’a enchantée. J’ai hésité à rédiger un article dessus. Je ne savais pas trop ni par quel bout le critiquer ni quoi écrire si ce n’est que je conseillerais d’aller le voir. C’est un film qui m’a fait rire, beaucoup. Si je souris souvent, j’éclate de rire assez peu. Je suis de celles qui laissent entrevoir un léger sourire lorsque la salle éclate de rire. Intouchables a réussi à me faire rire, d’un rire que l’on ne peut retenir. Je crois que si je ne devais citer qu’une seule raison, cela serait d’ailleurs celle-ci : l’humour.

L’histoire est simple. Philippe (François Cluzet), un aristocrate tétraplégique, engage Driss (Omar Sy) un jeune de banlieue tout juste sorti de prison pour l’aider dans la vie quotidienne. C’est l’histoire de deux cabossés de la vie qui vont apprendre à s’apprivoiser et découvrir leur univers respectif. A la lecture du synopsis, je craignais les lieux communs et la caricature. Finalement et malgré quelques clichés inévitables, j’ai été très agréablement surprise.

C’est un film joyeux et positif. Avec Philippe et Driss tout parait simple : et s’il suffisait de s’ouvrir, de s’entraider et de regarder vers la vie ? Je crois que l’on connaît tous dans notre entourage une personne atteinte d’un handicap ou d’une maladie lourde. C’est souvent difficile de savoir comment s’y prendre, que dire et quoi faire. Intouchables souffle une solution : retirer ce regard de pitié, de tristesse et regarder l’auteur comme un autre que soi et comme soi.

La réalité est sûrement embellie, mais qu’importe, si cela permet de se sentir mieux et d’y croire le temps d’un film. En mettant au premier plan la tolérance et le goût de la vie, Intouchables insuffle une énergie positive, une force instantanée. Savoir que le film est adapté d’une histoire vraie permet de se laisser porter encore un peu dans ce monde presque idéal.

Enfin, cela reste toujours (très) agréable de regarder une jolie histoire d’autant plus quand la bande originale est accompagnée du merveilleux Ludovico Einaudi . D’ailleurs, j’écoute la BO en boucle depuis, en alternant avec celle de La guerre est déclarée. C’est doux, c’est doux.

Alors, si vous n’êtes pas encore allés le voir, bien sûr, je vous le conseille. Je crois que c’est un film qui peut vraiment plaire à tout type de public. Et si vous y êtes déjà allés, je serais ravie de lire votre avis.

D’ailleurs, il y a des films en salle en ce moment que vous conseillerez ?

Bon week-end !


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