Kit pour un repas joli-joli à imprimer !


Un kit à imprimer pour un joli repas

Qui dit mercredi, dit créations mignonnes-mignonnes ! Aujoud’hui, je vous présente un petit kit à imprimer pour se concocter des dîners en amoureux, entre amis ou encore pour un anniversaire. Je ne sais pas vous, mais un repas bon et moche me laissera toujours un brin dubitative. A l’inverse, un repas joli me donne tout de suite envie de le goûter – naïve que je suis !-.

Pour le coté bon, je vous fais confiance et vous laisse à vos talents de cuisinières. Pour le côté joli, je vous propose de ce petit kit à imprimer/découper/bidouiller/coller/planter. C’est tout rapide, et cela permet de donner une touche colorée et mignonne en quelques minutes.

Lorsque je décide de préparer un chouette repas, j’aime créer des atmosphères, des ambiances. Il faut que cela soit joli, que cela inspire, que cela raconte une histoire. Il m’arrive assez souvent d’ouvrir en vitesse Illustrator, de bidouiller des bricoles, de les imprimer en vitesse quelques heures avant le dîner. Parfois, je file acheter une poignée de brindilles (absolument) indispensables à la décoration du repas. Aussi, je collectionne accessoires et divers ustensiles de cuisine. Ce n’est à chaque fois pas grand chose. Pourtant, c’est ce petit trois rien qui fait que cela pétille, que cela est harmonieux.

Alors, je vous présente un petit kit tout doux à imprimer avec des couleurs pastels, un kit mignon et simple pour donner un petit peu de gaieté à un repas. J’ai voulu – essayer de – fabriquer un petit quelque chose de simple afin qu’il puisse convenir aussi bien pour un repas d’anniversaire entre amis, pour un repas en amoureux, que pour un goûter entre copines.

Le kit comprend donc des fanions de deux tailles différentes : des petits à coller sur des bâtonnets ou cure-dents et à planter dans les plats et des plus grands pour en faire une guirlande. Vous trouverez aussi des étiquettes rondes et en formes de cœurs. Vous pourrez soit les coller sur des petits pots ou verrines, soit, de la même façon que les fanions, les coller sur des bâtonnets ou cure-dents.

Bon, c’est la première fois que je partage ce genre de petites choses. Je ne savais pas trop comment m’y prendre ni par où commencer à vrai dire. Si vous trouvez des choses étranges, n’hésitez pas à me glisser un petit mot. Et puis, si cela vous plait, je pourrais créer d’autres kits à imprimer avec des thèmes plus précis cette fois – anniversaire, Noël, Nouvel An, etc. –

Allez hop, vous pouvez donc l’imprimer par ici : télécharger le kit de décoration joli-joli pour repas/goûter à imprimer. Si vous cliquez sur les images, cela fonctionne aussi. Et puis, si cela ne vous suffit pas, vous pouvez toujours faire un petit tour du coté des nuages à imprimer/découper/coller.


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La guerre est déclarée de Valérie Donzelli


Un hymne à l’amour, à la vie devant soi

 

La guerre est déclarée de Valérie Donzelli est l’histoire idyllique d’amour de Roméo et Juliette. C’est aussi l’annonce brutale de la maladie – tumeur au cerveau – d’Adam, leur enfant. C’est alors l’histoire d’un couple qui raconte ce combat joyeux et gai face à la maladie, qui se raconte. C’est l’histoire de la vie qui continue malgré tout.

Depuis sa sortie en salle, j’avais en tête de voir La guerre est déclarée et je l’ai enfin vu la semaine dernière. Ce film m’intriguait. J’avais trouvé la bande-annonce belle et touchante. Savoir que ce film était très proche de l’histoire vécue par les réalisateurs/acteurs, sans pour autant être autobiographique, était aussi troublant.

J’ai aimé La guerre est déclarée . J’ai trouvé le film très lumineux, tendre et optimiste malgré le thème. Ce film n’est ni larmoyant, ni nombriliste. La guerre est déclarée m’a paru vivant, positif et surtout débordant d’amour. J’ai apprécié la pudeur présente tout au long du film. Valérie Donzelli est parvenue à ne jamais tomber dans le pathos et l’épanchement vulgaire. Cela aurait été pourtant si facile et si vendeur avec un tel thème. Cela n’est pas un film pour les voyeurs, pour ceux qui ralentissent devant un accident au bord de la route. On apprend dès l’ouverture du film qu’Adam sera guéri, on ne joue pas avec ça. On ne verra jamais plus Adam le crâne rasé suite à l’opération. Le narrateur ne s’épanche pas non plus sur cette immense amour, qui s’il leur a permis de gagner la guerre, a fini par se pulvériser.  J’ai trouvé ça digne, fort, et beau. J’ai été captivée et bouleversée par cette histoire, par ce combat injuste, si réel et si proche de Valérie Donzelli et Jérémie Elkaïm.

Le film rayonne et décolle grâce à sa bande-annonce, aux scènes décalées, parfois comiques et à ses belles couleurs – d’ailleurs, le film a été filmé à partir d’un appareil photo ! -. On navigue entre des scènes courtes, des plus longues, entre des passages écrits, chantés, narrés. On est presque guidés. On ralentit, on accélère, et enfin on explose à travers les coupures et les jeux de rupture. C’est un film qui sort de l’ordinaire, un film libre et qui ose, secoue, réveille, et nous donne cette envie si forte et si intense de vivre.

La guerre est déclarée est un film résolument optimiste, qui donne envie de se battre. Je l’ai vécu comme une catharsis, comme un hymne à la vie envers et contre tout.


« Ils étaient détruits mais solides. »


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Projet 365 : retour, conseils, expérience, tout ça.


 { Projet 365 au fil des mois }

J’avais promis quelques retours sur le projet 365 lors de l’article rédigé en janvier. Voilà maintenant un peu plus de 10 mois que je suis censée voler au fil des jours quelques images. Je ne m’étais pas donnée de règles strictes afin d’essayer de tenir sur la durée. Je voulais néamnmoins conserver des instants, des sensations le plus régulièrement possible de cette année. Je crois finalement que c’était la seule règle : ouvrir grand les yeux et se laisser surprendre. Ces instants pouvaient se traduire par des photographies, des extraits de livres ou encore des vidéos. Cela était un projet 365 assez souple – sinon, j’étais sûre de ne pas tenir plus de quelques jours.

Si ce n’est les premières semaines, j’ai rarement pris des photographies tous les jours. Je crois qu’il y a des jours avec, et des jours sans. Des journées où je passe mon temps à courir et où je n’ai pas le temps de prendre ce temps-là. J’ai beaucoup de mal à l’idée de prendre une photo même ratée pour prendre une photographie. Du coup, les journées où il n’y a rien, je laisse un vide. Pour beaucoup, je pense, j’ai alors raté l’essence même du projet 365. Je préfère continuer un projet avec des trous, qu’arrêter parce que je ne me sens pas à la hauteur au bout de quelques semaines, parce que j’aurais eu cette sensation désagréable d’être forcée. Je crois que le projet 365 doit rester un plaisir avant tout. J’essaye au minimum de me consacrer une fois par semaine à ce joli projet.

 

 

Je ne mets pas non plus les photographies dès que je les prends. Cela peut prendre parfois quelques jours, parfois des semaines. Si au début, je prenais soin de les ranger à la bonne date, j’ai vite « oublié ». Cela prenait au final beaucoup trop de temps – et pourtant je trouve ça plus joli visuellement d’avoir un jour, une photographie -.

Du coup, c’est un projet 365 beaucoup libre, évolué et grandi. Même si je ne suis pas très consciencieuse dans la façon de travailler sur ce projet, cela m’a permis d’évolué dans ma vision de la photographie. Je me suis aperçue rapidement que celles-ci reflètent souvent mon moral. Lorsque je tourne les pages de mon Tumblr, on peut distinguer des périodes plus lumineuses, et d’autres plus sombres. Il y a des constantes qui apparaissent sur quelques jours voire quelques semaines et qui laisse entrevoir en filigrane mon moral ou quelques obsession. Cela m’a permis de prendre du recul sur les mois écoulés et d’y voir plus clair.

Le projet 365 me permet de travailler mon imagination, me pousse à regarder autrement, à ouvrir les yeux, et aussi à prendre du temps pour moi. En fin de compte, c’est, je trouve, un bon complément à mon blog. Je vais d’ailleurs souvent piocher dans mon Tumblr afin d’illustrer mes articles. Et vice-versa, je mets presque toujours les photographies prises pour un article sur le projet 365.

Je reviendrais dans un prochain article sur mes technique pour justement faire travailler mon imagination et être le moins à court d’idées possible.

Belle fin de semaine !



Et vous, vous en êtes où de votre projet 365 ?

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