Des bouts de moi,

Cela ne sera pas encore tout à fait un post déco. Vous pourrez (juste) avoir avoir un aperçu du coin bureau !  Il va falloir attendre un peu pour le reste. Je dois avouer qu’entre mes petits voyages, je prends un grand plaisir à décorer notre minuscule appartement (alors qu’on va déménager dans quelques semaines, je sais). Je ferai l’article dans quelques jours.  Le problème est que comme j’ai des idées qui arrivent de nulle part en continue et que je voudrais prendre des images lorsque cela sera fini: cela ne fonctionne pas très bien ensemble. Là, c’est donc un bout de mur au dessus du bureau rempli de couleurs.

J’ai plein d’idées d’articles dans la tête. Je voudrais faire une série d’articles sur Valencia et aussi sur Toulouse comme j’avais fait pour Venise. Dans quelques mois, je ferais peut-être la même chose pour Poitiers et sa région.  J’ai aussi une immense envie d’essayer de faire des vidéos légères d’été et de souvenirs. Je crois que c’est l’été au dessus de ma tête qui donne des ailes à mes idées.

Clothilde m’a invitée à  répondre à ce petit questionnaire . Voilà chose faite ! Je ne le transmets à personne en particulier. En revanche, si cela vous fait plaisir de le faire, laissez moi un petit commentaire,  je viendrais découvrir des petites choses sur vous.

Signe particulier :

J’ai la maladie du voyage, et dans un sens plus large, du changement. J’ai peur de m’enliser dans le quotidien et d’oublier de m’émerveiller. Alors, je fais tout pour rendre mon quotidien multicolore et un peu magique. J’accumule les voyages, les petites et grandes expériences, les surprises, les nouvelles recettes de cuisine et les idées farfelues. J’ai besoin de découverte et de renouveau au quotidien.

Mauvais souvenir :

La séparation géographique avec mon amoureux est quelque chose qui fut très difficile à supporter. On a été souvent séparés mais cela n’est pas pour autant que je parviens à apprivoiser la solitude. A chaque fois qu’on se sépare à nouveau, je pense être plus forte et parvenir à escalader la distance. A chaque fois pourtant, je tombe et j’en ressors avec des bleus sur les genoux.

Un souvenir d’enfance :

Les milles bêtises que j’ai pu faire avec ma cousine. Une chose qu’on aimait beaucoup faire, c’était aller se glisser dans la piscine des voisins ( et piocher quelques cerises dans le cerisier ) lorsque mes parents n’étaient donc pas là.  Mes voisins étaient rarement  chez eux. Bon, si l’on se faisait prendre autant dire que papamaman n’était pas vraiment très contents, surtout maman.

Mon défaut :

Je suis hypersensible. Je ris et pleure pour un rien. Je peux me rendre malade pour une petit remarque qui va me déstabiliser pendant des jours. Elle va tourner dans ma tête jusqu’à exploser. Je prends à coeur tout ce que l’on me dit (surtout les remarques négatives) et après il faut me ramasser à la petite cuillère. Autant dire qu’Anthony est très patient !

Disons que je me remets beaucoup plus facilement en question que je remettrais les autres. Le coté positif d’être sensible est que lorsque je suis heureuse, c’est aussi en géant.

Mon film bonne mine :

Amélie Poulain, pour sa poésie, sa douceur de vivre et sa musique. C’est un film qui me permet comme par magie de remettre des couleurs dans ma vie lorsqu’elle s’assombrie un peu trop.

Vous pouvez cliquer sur les images pour les voir en plus grand.

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Des mini-excuses de rien du tout,

J’ai la fâcheuse habitude de prendre la poudre d’escampette sans prévenir personne. Je me suis envolée à la fin de la semaine dernière à Poitiers avant de voguer vers Valencia. Je retourne à Poitiers lundi et je ne rêve que de me faire dorer sur les plages de Valencia avec des livres doux doux doux et légers.

Normalement, c’est pour très bientôt.

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Je déteste mes voisins,

J’ai la tête qui va exploser et mes voisins parlent (hurlent) toujours plus forts. J’ai envie de sortir la tête par la fenêtre et de hurler une bonne fois pour toute de se calmer, qu’ils ne sont pas tout seul et que ma tête risque d’exploser à tout moment s’ils continuent.

Je sais bien que je ne le ferais pas. Je ne sortirais pas la tête par la fenêtre et je ne crierais pas non plus. Je suis bien trop polie et réservée pour ça. Je ne savais pas qu’il était possible d’arriver à détester autant ses voisins. Ni de faire autant de bruit.Je croyais que les histoires de voisins-pas-gentils n’arrivaient qu’à la télévision.

S’il y a bien une chose qui me fait plaisir dans mon déménagement, c’est bien ça.

Au revoir les voisins !

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