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C’est très simple.

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Pas compliqué, non ?

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Une semaine tout en couleur,

La semaine fut jolie. Sur le moleskine, j’ai coloré mercredi, jeudi, et vendredi d’une couleur différente.  Ces trois journées furent une parenthèse de douceur au milieu de l’angoisse de l’avenir. J’ai si peur, tu sais.

Le théâtre, le les restaurants, la galerie photographique, le salon de thé, tout s’est enchainé.  Ce sont des merveilles du quotidien, des sourires entre les feuilles de révisions. J’aime ces tempêtes d’instant.  J’ai si peur, tu sais. Le jardin japonais ne m’avait jamais semblé si apaisant. Mercredi soir, les Marguaritas frappées nous attendaient au bar mexicain. Puis le restaurant africain comme toujours fut délicieux. J’aime l’atmosphère de ce lieu. Tout est fait pour qu’on s’y sente bien. Les cocktails aux saveurs d’ailleurs, le décor, la musique de fond, les serveurs sont en harmonie avec le lieu. La soirée s’est écoulée en douceur. La séance de cinéma ne nous aura pas attendu  tout comme la visite guidée le lendemain.

Vendredi soir, j’ai dansé pour la première fois depuis des années. C’était du tango. Le premier cours n’est jamais simple. Il y avait des petits poids dans mon ventre qui rendaient chacun de mes mouvements indélicats. L’appréhension m’empêchaient d’écouter la musique et de  sentir mon corps. J’étais en dehors de lui.  J’étais spectatrice. Mon corps était là,  seul au milieu de la piste. Peu à peu, je me suis approchée, apprivoisée. Ce n’est pas simple après des années d’ignorance de s’entendre à nouveau et de se rendre compte de l’abandon, de ses dégâts. Depuis, je lis Tango et je crois avoir vraiment envie de poursuivre cette re-découverte.

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La joie des révisions

Les nuages sont revenus. La pluie éclabousse la ville. Je n’aime pas ce temps-là. J’ai enfilé les collants rangés au fond du placard. Et malgré tout, j’ai froid.

La peur me retourne la peau. Je sais qu’il n’y a qu’une poignée de chance pour que la réponse soit positive. Je ne peux m’empêcher d’espérer immensément. Et d’y croire presque. Je voudrais tant  lire «admise» accolé à mon nom. Les révisions sont là, à coté. Elles me dévorent le ventre à chaque phrase lue. Je me sens minuscule dès que j’y pense. Je sais pourtant bien que si je ne suis pas prise cela sera un écroulement, un effondrement puissant et silencieux. J’essaye de repousser cette image de l’échec tant que j’en ai la force.

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