Venise partie 5: le théâtre de la Fenice

La Fenice
Cet article sera la dernier de la série «Venise». Je voulais vous parler du théâtre de Venise, la Fenice, pour clore ce joli voyage vénitien.
Cet opéra m’a ébloui. On se baladait dans les petites ruelles de l’île lorsqu’on s’est trouvé par hasard face à ce joli bâtiment. Ni une, ni deux, j’ai embarqué Anthony à l’intérieur !
L’architecture est très rococo, c’est vrai mais sans jamais tomber dans le grotesque. Ici, on est dans le merveilleux. C’est le bâtiment qui m’a le plus émerveillée à Venise. Le palais des doges et la basilique Saint Marc étaient impressionnants mais ils ne m’ont pas fascinée autant.
Je n’ai malheureusement pas pu prendre de photographies de la salle où ont lieu les opéras.  Vous ne pourrez alors que me croire sur paroles lorsque je vous dirais que c’est un lieu magnifique que vous ne pourrez oublier.
La Fenice
La Fenice est majestueuse. Pour l’apprécier à sa juste valeur, il faut connaitre son histoire spectaculaire.
Le théâtre fut détruit trois fois par les flammes. Et à chaque fois, il  renaquit de ses cendres quelques années après. La première catastrophe a eu lieu en 1773. Il fut reconstruit à l’identique cinq ans après. Il subira à nouveau un incendie en 1846 et sera à nouveau reconstruit une poignée d’années plus tard.
En 1996, il fut brûlé à nouveau à cause d’un incendie criminel. Il rouvrit ses portes en 2003. La Fenice est bien un phénix qui renait de ses cendres après toute tragédie.
J’ai aimé cette histoire paraissant sortir tout droit d’un conte de fée. Cela donne une puissance au lieu, une beauté tragique et merveilleuse. C’est une jolie histoire qui se finit bien.
C’est un lieu à visiter, à ressentir avant tout. Il y a beaucoup plus à ressentir qu’à écrire:  c’est beau, c’est beau, c’est si beau voilà tout. 

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Conseils pour garder des enfants ?!

A partir de lundi prochain, je vais garder deux petites filles six heures par semaine. Elles ont sept et onze ans.

Je dois dire que j’ai un peu peur. C’est un peu bête mais. Je suis fille unique, et cela sera la première fois que je vais me retrouver seule avec deux enfants à ma garde.

Je m’occuperais d’elles trois fois par semaine, chaque fois pendant deux heures. J’irais les chercher à la sortie de l’école. Le temps sera alors divisé en deux. Il y aura une partie où je les aiderais à faire leurs devoirs et une autre où je devrais les « divertir ». La première partie ne me fait pas peur, mais la seconde un peu plus. Bien sur, je vais leur demander ce qu’elles aiment et ce qu’elles souhaiteraient faire avant toute chose. Si vous avez cependant quelques conseils, des idées d’activités ; je suis preneuse.

C’est un peu ridicule, mais j’ai un peu peur.

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Le coeur en solitude

Ce n’est pas encore huit heures et j’ai pourtant l’impression que cela fait une éternité. Il est parti. Je reste ici. Assise sur le canapé, je reste prostrée. J’ai l’impression d’être une enfant de quatre ans lorsque la tristesse m’emporte. Je voudrais parvenir à quitter ce jeu douloureux sans dégât parce qu’en l’occurrence ; cela ne va plus. Je ne suis pas faite pour ça, tellement que cela me rend presque folle. J’ai l’impression qu’une vie s’est passée entre six heures et ce pas encore huit heures. La douleur s’est cognée à mes veines. Je me sens trahie parce qu’on s’était promis que tout cela serait fini. J’ai hurlé, pleuré, tremblé sans vraiment en comprendre les raisons. Je sais juste enfin je crois que c’est moins pour l’acte lui-même que pour l’idée de l’acte.  Il faut que tout cela cesse.
Les mensonges, les indécisions, la distance, le non-dits, les cries, les larmes, la solitude, que tout cela cesse.  

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