Valencia en images, (suite)


Une autre poignée d’image de Valencia.

Là, c’est la cité des Arts et Sciences. C’est joli, moderne, futuriste. Les bâtiments sont blancs et arrondies. Immenses et imposants. Cette architecture est prenante. Saisissante. C’est à couper le souffle. A chaque fois que je passe sur le pont, à chaque fois, je me laisse emporter par sa beauté. C’est l’œuvre de l’architecte Santiago Calatrava. Peut-être le connaissez-vous déjà: il est l’auteur de nombreux bâtiments tels que la gare de Lyon Saint Saint-Exupéry ou le pont d’Alamillo à Séville. Tout ce qu’il fait se transforme en chef d’œuvre d’une beauté écrasante. Je me sens toujours minuscule et fragile face à ses créations, mais ce n’est pas cela qu’on appelle si justement le sublime ?

La cité des des arts et sciences regroupent plusieurs musées. Elle se situe sur le Rio du Turia , ancienne fleuve de Valence, qui est maintenant un parc géant entourant la ville ( je vous raconterai ce parc et ses jardins plus tard ! La culture… c’est comme la confiture plus (… ) !). L’Aquarium. Le musée des sciences où vous pourrez toucher, observer, faire fonctionner, apprendre et découvrir. Divertissant, enrichissant et d’un plaisir enfantin. Le très célèbre océanographique. Le planétarium. L’Umbracle, un jardin aux milles senteurs et fleurs. Vous pourrez découvrir toute la flore valencienne, et plus encore. Le musée des Arts de la Reina Sofia, un savant mélange de littérature, de danse, de cinéma, de photographie et de d’autres merveilles. Le tout ayant comme fil conducteur la musique. Un grand espace de culture, de détente et beauté.

Si vous avez l’occasion de venir à Valencia (me voir ?), je vous conseille d’aller vous promener de jour comme de nuit avec ses milles et une lumière dans cette immense cité, qui continue de se construire. Trois immenses tours de verre représentant les trois plus grandes villes de la communauté valenciennes sont en projet de construction.

(…)

Au lit, la suite … bientôt !

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Valencia en images,


Les photographies ont était prises cet après-midi.
Sous le soleil de dimanche après-midi.

Je crois ne jamais avoir déposé d’images de Valencia. Je veux dire de la ville, de ses couleurs et matières. Une poignée d’images, des couleurs qui rappellent l’été, du sable fin, des rochers et une mer si bleu.

Ici lorsqu’on ouvre la fenêtre, on se croirait en vacance toute l’année.


Si vous voulez en savoir plus, sur mon expérience Erasmus, vous pouvez aller à cette adresse.

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Note du samedi,


Les jours s’écoulent peu à peu. Déjà plus de deux mois, je posais mes bagages sur le sol. Je souriais à Valencia et trinquais à cette année avec des presqu’inconnus. Des inconnus qui deviendront si vîtes mes quotidiens, mes repères. Je me créais une autre vie comme on ouvre un nouveau livre. Un nouveau quotidien apparaissait et je le saisissais. Déjà plus de deux mois, et je ne sais pas quoi en penser. Je ne sais pas si je dois en sourire ou m’effondrer. Il parait que cette expérience devrait me grandir, me fortifier. Nous verrons, je verrais. Ce n’est pas le cas. Ce n’est pas encore le cas. Je régresse. J’ai à nouveau quelques mois et je ne sais plus marcher. Depuis mon arrivée, je me sens minuscule et mon cœur me fait bobo. Je me sens comme un bébé, tyrannique et dépendant. Je mange, pleure et dors. Je suis incapable de gérer mes émotions. Il y a trop d’étincelles qui s’éteignent en même temps et trop vîtes pour les supporter. Il y a trop de. Je n’ai plus de berceau, plus de doudou pour me consoler, me rassurer.

J’ai peur de me perdre et de ne plus savoir me retrouver, nous retrouver. J’ai peur de ne pas arriver à me relever, de ne plus savoir marcher.


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