Les jours s’en vont je demeure.
Si vous voulez en savoir plus, sur mon expérience Erasmus, vous pouvez aller à cette adresse.
Se souvenir des belles choses. Toujours.
{ carnet d’instantanés et de sourires }
Si vous voulez en savoir plus, sur mon expérience Erasmus, vous pouvez aller à cette adresse.
Les dernières photographies de Barcelone,
( pour le moment )
Je vais chez les amigos italianos manger des pizzas faites maisons,
et plein d’autres choses italiennes très bonnes dans une poignée de minutes.
Et boire, boire et encore boire des cocktails espagnols. Parce qu’on est quand même en Espagne ici.
Là-bas, on se croirait un peu en Italie. C’est l’appartement qui chante.
On pourrait presque dire que c’est une annexe de l’Italie en Espagne.
Si vous vous amusez à compter le nombre de fois où j’ai écrit en cinq lignes « Espagne » et « Italie », vous pourrez dire, à juste titre, que mon texte est très répétitif.
Sur ce, je vais enfiler une jolie robe, et mettre du mascara.
Pas de doute là-dessus, je suis bien une fille.
Lalala, que viva la noche, lalala.
Elle efface toutes les images
Elle éblouit l’amour et ses ombres rétives
Elle aime – elle aime à s’oublier.
(Eluard)
La ribambelle d’images de Barcelone continue.
Par poignées et en vrac comme toujours.
Colorée aussi.
La fin de semaine est là, et je n’ai encore rien de prévu.
Jean d’Ormesson prône la paresse et l’ennuie comme source d’inspiration. Moi, j’ai plutôt l’impression qu’elle me tue. A petit feu, tout doucement.
Rigoureusement.
Qui sait ? J’en ferais peut-être un chef d’œuvre.
« J’écrirais volontiers un éloge de la paresse et de l’ennui. La paresse, rien de plus clair, est la mère des chefs-d’œuvre. […] L’ennui est la marque en creux du talent, le tâtonnement du génie. »
Jean d’Ormesson, Qu’ai-je donc fait ?