Note du mardi,

Je reviens de l’administration de mon université qui me fait tourner en carré. Un coup je te dis oui, un coup je te dis non. Un coup, je ne sais pas, un coup je ne t’ai jamais dit ça. Bon, j’ai mon plan d’étude, il parait. Avec 40 petits crédits pour l’année. Oui, je sais, c’est peu. Il me manque toujours à cueillir toutes mes notes et à envoyer la validation d’acquis.

Une petite icône est apparue à gauche. Comme je ne sais pas si j’aurais toujours beaucoup de temps à consacrer sur ce blog en Espagne ( vous allez me dire avec mes 40 micro-crédits à valider, j’aurais le temps. Hum, hum… ), vous pourrez lire mes humeurs/péripéties ! J’ai aussi rajouter une adresse mail, créée tout spécialement pour ce blog. Alors si vous voulez m’envoyer des petits mots doux – ou moins doux… -, vous pouvez dès maintenant.

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Note du lundi,


Je pars le 10, ou peut-être le 11.

J’ai un peu peur. Beaucoup même. Il y a six mois, lorsque j’ai rempli le dossier Erasmus, je faisais le pari de m’intégrer et de parler une autre langue en moins d’un an. Je m’amuserais, je vivrais une auberge espagnole, je découvrirais. Se plonger dans l’inconnu pour en ressortir plus forte. Grandie. Tout paraissait si limpide, si simple. Partir, s’émerveiller et découvrir. Puis revenir avec un sourire rempli de jolies choses.
Maintenant, j’ai peur. Et, les doutes prennent le dessus. Il y a l’amoureux, et le reste. L’argent, la timidité, la langue. Les papiers aussi. Alors, j’essaye de prévoir, de me persuader que les nœuds dans le ventre se transformeront en papillons dès mon arrivée. Il n’y a pas de raisons, après tout. Je fais des listes de vocabulaires. Je les apprends par cœur. Je gribouille des mots et répète des phrases en Espagnol à voix haute. Cela ira, cela ira. J’ai acheté samedi la méthode assimil, le CD tourne en boucle dans ma chambre. Vous connaissez ? Vous avez des conseils à me donner? Si oui, je suis preneuse.
J’ai trouvé mon auberge espagnole. Un appartement multiculturel au milieu de l’avenue de mon université. Entre la plage et la centre de Valencia. Il y a même un lit pour ma petite voiture. On sera deux garçons et deux filles. Un guatémaltèque, un italien. Peut-être une anglaise et moi.

Partir, s’émerveiller et découvrir. Juste ça.

Si vous voulez en savoir plus, sur mon expérience Erasmus, vous pouvez aller à cette adresse.

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Note de retour



J’ai tellement de choses à raconter que je ne sais pas par où commencer.

Ces images, c’était en haut de la tour Miquelite, le clocher de la cathédrale de Valencia. . La tour offre une vue saisissante sur la ville. Il faut monter un escalier sans fin de 51 mètres pour y accéder. Là-haut, on a l’impression d’être sur un petit nuage hors du temps.

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